GT99-00 Boîte 5 vitesses origine - 100'000km problème bizarre
Publié : mar. nov. 17, 2020 21:26
J'ai déjà parcouru tout ce qui concerne les boîtes 5 vitesses dans le monde entier. Et la conclusion c'est de la m... d'origine. Alors que j'ai quelques poussières au-delà de 100'000km, après l'avoir "rodée" durant au moins 90'000 km sans excès notables. J'ai eu la surprise de voir ma 5ème revenir subitement au point mort suite à un léger relâchement de la pédale de gaz tout en roulant avec un filet de gaz. Si je me fie à ce qui m'a été dit par le mécanicien la dernière fois, lors de la vidange boîte-ponts, il n'y avait pas beaucoup d'huile dans la boîte. Mais avec les faillites de garages qui ne vont pas tarder et l'appétit de vendeurs nous prenant pour des gogos près à larguer une voiture en parfait état d'origine jusqu'à ce jour malvenu et à un prix dérisoire évidemment, je me méfie fortement de leurs méthodes. Car il n'y a aucune tache d'huile dans mon box depuis 20 ans. En plus comme j'ai fait régulièrement les services dans les termes kilométriques à respecter, laissant un responsable du garage de m'indiquer ce qu'il faut faire, je trouve un peu saumâtre que lors des services aucun manque d'huile n'ait jamais été constaté ni explication relative à ce manque subit autre qu'un défaut d'entretien lors des services, dont on peut finalement douter de la nécessité économique au regard des coûts. Les zigotos du siège de l'importateur m'ont "naturellement" envoyé sur les roses étant spécialisés pour les rappels de peu d'importance, une sorte de cosmétique marketing. Mais les problèmes d'interruption de connexion entre le moteur et la transmission doivent pourtant tuer pas mal de monde pris par surprise, si je me fie à mon enquête.
Mes découvertes essentiellement en langue anglaise m'ont confirmé que jusqu'à fin 2008 avant l'arrivée des boîtes 6, ces boîtes ont été frappées de défauts cachés tombant sous le coup d'une garantie légale vu l'âge, donc autre que celle du constructeur selon les pays. En tous cas en Europe c'est plutôt le silence radio. On préfère changer les boîtes comme s'il s'agissait de produits de consommation courante. Parce que ce type de boîtes a été monté sur des modèles très différents dont certains avec refroidisseurs d'huile ce qui est déjà une indication de faiblesse congénitale reconnue à l'interne. Une partie de poker-menteur aux frais des clients pourrait-on ainsi définir ces manquements volontaires. Déjà sous garantie avec des kilométrages inférieurs et supérieurs à 100'000km il a été constaté que l'écrou verrouillant l'axe de 5ème se barrait et était la cause de ce type de panne, tout comme la difficulté à engager la marche arrière. Écrou soumis à des températures élevées si le plein d'huile n'était pas parfait faisant à la longue une sorte de cisaillement thermique favorisant le desserrage. Pour réparer, il y avait donc bien un kit officiel avec roulement(s?) rondelles pignon de 5ème, fourchette etc., censé fournir une réparation peu chère "sous garantie". Mais sur les sites francophones je n'ai jamais entendu parler de ceci, à croire que certains sites sont de vulgaires rabatteurs pour donner du boulot aux copains. La réparation minimaliste semblant alors se limiter à un swap d'échange total au prix fort.
Pourquoi dans l'industrie automobile la situation va en empirant ? Je pense que le problème relève des flux tendus. Dans le passé, la marchandise était vérifiée puis stockée par l'acheteur. Aujourd'hui ce sont les méthodes chinoises qui prévalent. Pochettes surprises sans vérifications, paiement d'avance sans retour possible. Et comme beaucoup de choses arrivent de Chine, impossible d'y échapper. Donc je vois très bien que les importateurs servent de relais de pilotage pour les usines. Et dès que les statistiques de pannes gonflent subitement, certains modèles sont directement orientés sur les réseaux des mandataires peut-être directement par les agences sous l'autorité des usines. Voilà pourquoi malgré les injonctions légales, de nombreux véhicules issus de ces filières ne veulent pas être pris en garantie par les importateurs. Ils savent d'avance combien tous ces défauts vont finalement leur coûter.
Mes découvertes essentiellement en langue anglaise m'ont confirmé que jusqu'à fin 2008 avant l'arrivée des boîtes 6, ces boîtes ont été frappées de défauts cachés tombant sous le coup d'une garantie légale vu l'âge, donc autre que celle du constructeur selon les pays. En tous cas en Europe c'est plutôt le silence radio. On préfère changer les boîtes comme s'il s'agissait de produits de consommation courante. Parce que ce type de boîtes a été monté sur des modèles très différents dont certains avec refroidisseurs d'huile ce qui est déjà une indication de faiblesse congénitale reconnue à l'interne. Une partie de poker-menteur aux frais des clients pourrait-on ainsi définir ces manquements volontaires. Déjà sous garantie avec des kilométrages inférieurs et supérieurs à 100'000km il a été constaté que l'écrou verrouillant l'axe de 5ème se barrait et était la cause de ce type de panne, tout comme la difficulté à engager la marche arrière. Écrou soumis à des températures élevées si le plein d'huile n'était pas parfait faisant à la longue une sorte de cisaillement thermique favorisant le desserrage. Pour réparer, il y avait donc bien un kit officiel avec roulement(s?) rondelles pignon de 5ème, fourchette etc., censé fournir une réparation peu chère "sous garantie". Mais sur les sites francophones je n'ai jamais entendu parler de ceci, à croire que certains sites sont de vulgaires rabatteurs pour donner du boulot aux copains. La réparation minimaliste semblant alors se limiter à un swap d'échange total au prix fort.
Pourquoi dans l'industrie automobile la situation va en empirant ? Je pense que le problème relève des flux tendus. Dans le passé, la marchandise était vérifiée puis stockée par l'acheteur. Aujourd'hui ce sont les méthodes chinoises qui prévalent. Pochettes surprises sans vérifications, paiement d'avance sans retour possible. Et comme beaucoup de choses arrivent de Chine, impossible d'y échapper. Donc je vois très bien que les importateurs servent de relais de pilotage pour les usines. Et dès que les statistiques de pannes gonflent subitement, certains modèles sont directement orientés sur les réseaux des mandataires peut-être directement par les agences sous l'autorité des usines. Voilà pourquoi malgré les injonctions légales, de nombreux véhicules issus de ces filières ne veulent pas être pris en garantie par les importateurs. Ils savent d'avance combien tous ces défauts vont finalement leur coûter.